Et bien voilà, c’qui devait arriver … arriva !
J’attends le médecin et je ne vais donc pas travailler.
Trop mal aussi pour rester au lit , mal dormi …
Hier, comme prévue, j’ai voulu y aller, mon Claude étant
d’après-midi @ pu m’y emmener mais une heure et demie
après je l’appelais en urgence … Alors que j’avais prévenue
ma chef que je ne pourrais pas faire de gros travaux @ cause
de mon dos mais que j’avais préféré venir pour ne pas créer
trop d’embarras elle ne m’@ pas entendu je pense et m’@
demandé de l’aider @ soulever une truc qui pesait assez lourd.
Je l’ai aidé puis j’ai rejoint mes collègues au réfectoire et
lorsque j’ai voulu me relever … J’ai serré les dents et je suis
allée me réfugier dans les toilettes tant j’avais mal …
Après m’être calmée je suis allée revoir ma chef et je lui ai
demandé de me laisser rentrer chez moi car je n’en pouvais
plus et pour que j’agisse de la sorte c’est que vraiment je
souffrais le martyr. Je ne suis pas du style @ me mettre
en arrêt pour un oui ou pour un nom, j’aurais tellement
voulu aller jusqu’@ la fin de la semaine et faire le lundi et
le mardi suivant les permanences mais là … bin c’est drôlement
compromis je crois … Et en plus ça y est , je suis passée dans le clan
des " tire-au- flanc " . Moi qui aurais donné n'importe quoi
pour mon boulot , moi qui suis allée au bout de ce que je
pouvais voilà que de part certaines de mes collègues
toujours les plus hargneuses , je suis une
" fainéante " . Que faut-il faire ? Marcher jusqu'@ rester
sur le tapis ou bien prendre soin de sa vie ? J'avoue , je sais plus .
Enfin bref, voilà j’ai trop tiré sur la corde et hier elle s’est cassée.
J’ai voulu aller au bout de mes forces et j’y suis pas très fière
je l’avoue parce que j’ai horriblement mal.
C’est pourquoi j’abrège ici mon blablatage, peut-être si je tiens
le coup devant mon PC cet après-midi je passerais vous voir
mais c’est pas gagné …
Quoiqu’il en soit je vous souhaite un excellent mardi.
Je pense @ vous très fort.
NB : lorsque le toubib sera venu je passerais
vous dire c’qu’il en est.

